Il y a un an aujourd’hui, les Français, à Paris, dans le reste de l’Hexagone comme dans tous les Outre-Mer, se sont mobilisés comme jamais dans leur histoire pour manifester leur unité face aux attaques qui les ont frappés du 7 au 9 janvier 2015.
Le président de la République et le gouvernement ont rendu hommage aux victimes des attentats à plusieurs reprises cette fin de semaine. Un an après, notre détermination est la même et la France a su rester forte et ouverte. La solidarité des Français mais aussi de nos amis internationaux a été inébranlable.
Cérémonie d’hommage aux victimes du 9 janvier
Cérémonie du 10 janvier 2016 en hommage aux victimes des attentats de janvier et novembre 2015
Des attaques à la bombe contre le Bataclan ! Des agressions contre des Policiers, serviteurs de l’Etat français, protecteurs du Temple, sur le sol français ! Que d’énormités certains hommes commettent contre d’autres hommes sur le sol français ! Et cela ne connut pas de répits en 2015. Aucun Français ne semble s’être accoutumé à ces actes de cruauté qui s’y commettent et empêchent le Chef de l’Etat, la Ministre et surtout Madame La Ministre de fermer l’oeil de la nuit. Ces évènements difficiles à interpréter, nous épouvantent et terrorisent la France. Devant ces remous criminels, cette pratique massive du Mal nous inquiète.
Ceux-là qui retournent les armes contre leur propre Patrie, la Grande France, ne peuvent pas faire de la violence une stratégie et encore moins le fondement d’une idéologie religieuse en vue d’atteindre leurs objectifs. Ils se heurtent à l’Unité nationale des Français, à un sursaut collectif.
C’est dans cette unité que le Chef de l’Etat, sous la lumière de la citation de Vicor Hugo nous invite à l’unité en trouvant une stratégie pluraliste pour réaliser un changement social non violent et parvenir à une France plus grande, participative comme nous l’a montré Madame La Ministre avant, pendant et après la COP 21.
Cette fin d’unité, d’identité exprimée par des milliers de personnes, n’est pas, quoi qu’il leur semble parfois, une répétition des expressions mais la requête d’une image de paix pour les enfants, les personnes malades, et surtout les personnes agées dont la France fait espérer la réalisation. A la suite de Victor Hugo, il y a quelques séances de béatitudes dans cette soif d’unité des Français.Cettte unité qui souffre des implications culturelles de l’évolution de l’Europe. L’unité des Français, vivement !
Il faut qu’elle conduise les Français à s’ouvrir les uns aux autres, au-delà des forces du Mal qui s’approprient la haine du Français sur le territoire français. Nous avons du mal à comprendre cela et nous en souffrons terriblement.
Dans le ciel lourd hivernal, dans le froufrou du vent glacial, l’ardeur des jeunes est initerrompue pour matériliser cette unité. Au Panthéon, Victor Hugo incompris en son temps renaît. Oh le Patriarche de la Troisième République qui continue de nous inspirer ! Il sait qu’il est probable que cette unité préludera à une autre signification d’une France soudée dans le Bien, nouvelle. Et cela ne passera pas sans la presse, radicalement impliquée dans l’évolution des idées et des attentes de cette unité. Ne serait-ce pas parce que le Vrai, le Bon, le Bien, le Beau deviennent à nouveau d’actualité ? Victor Hugo par sa phrase fait prendre conscience que la violence, le persécution rend certains aveugles. Ceux-là qui retournent les armes contre la France créent leur propre chemin de Damas.
Gilles Dossou- Gouin