Un grand doute existe quant à la politique vaccinale mise en oeuvre par les autorités sanitaires.
L’une des raisons concerne les sels d’aluminium utilisés comme adjuvant dans la plupart des vaccins. Cette crainte s’appuie sur des alertes lancées par des chercheurs, dont l’unité INSERM U 955 de l’hôpital H. Mondor (Créteil), qui ont démontré qu’une partie de l’aluminium injecté migrait dans l’organisme pour atteindre le cerveau. Cette découverte de premier plan ne peut laisser personne indifférent, car l’aluminium est reconnu comme neurotoxique par de multiples études.
Des députés et sénateurs se sont donc mobilisés pour demander la remise à disposition d’un vaccin DTPolio sans aluminium.
Annick GIRARDIN a signé la pétition pour soutenir la démarche initiée par ses collègues : Michèle RIVASI (députée européenne EELV), Laurence COHEN (sénatrice PC), Corinne LEPAGE (députée européenne ADLE), Jean LASSALLE (député N.I.), Philippe MADRELLE (sénateur PS), Alain TOURRET (député PRG).
Rappelons que la Pharmacovigilance nationale a émis des recommandations de grande prudence vis-à-vis de l’aluminium des déodorants, suspecté de déclencher des cancers notamment celui du sein. L’Agence
du médicament a ainsi écrit qu’ « il serait nécessaire d’informer le consommateur que les produits antitranspirants ou déodorants ne doivent pas être utilisés après le rasage ou en cas de lésion de la
peau ». De façon paradoxale, l’aluminium vaccinal (molécule identique) ne bénéficie pas des mêmes précautions.
Pour en savoir plus sur la question : www.myofasciite.fr
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