Archive mensuelle de avril 2011

Nouvelle session du Conseil de l’Europe la semaine dernière a Strasbourg

En tant que membre de la délégation française au Conseil de l’Europe, la Députée s’est déplacée 2 jours à Strasbourg la semaine dernière. Deux jours durant lesquels elle est intervenue à quatre reprises au nom de la France.

Le mardi 12 avril, Annick GIRARDIN s’est, dans un premier temps, adressée au Ministre des Affaires étrangères de la Turquie concernant l’intervention de l’Otan (dont la Turquie est membre) en Lybie.  Elle a ensuite interpellé le Premier Ministre turque sur la liberté d’expression de la presse, ainsi que sur les nombreuses arrestations et détentions de journalistes et d’écrivains en Turquie.

Le mercredi 13 avril, le Député est intervenue sur deux nouveaux sujets à l’ordre du jour de cette session d’Avril 2011 :

  • Une première intervention sur la violence à l’école dans les pays européens :

http://www.dailymotion.com/video/xic2d4

  • Une seconde intervention sur la dimension de la religion dans nos sociétés multi culturelles : Nouvelle session du Conseil de l'Europe la semaine dernière a Strasbourg dans Europe pdf ceuro130411.pdf

Prix littéraire de l’Archipel : déjeuner avec le jury

dscn2580.jpgPour sa troisième édition, le jury du prix littéraire de l’Archipel « Récits d’ailleurs » du Lycée Emile LETOURNEL a décerné son prix à un écrivain suisse d’origine russe, Mikhaïl W. RAMSEIER, pour son roman « Otchi tchornya » (les yeux noirs).
Comme chaque année, le Député  a souhaité inviter à un déjeuner le lauréat, les cinq lycéens membres du jury ((Judith DETCHEVERRY, Charlie SAUVOUREL, Mathieu BRY, Sheunn le COADIC, Alexis VIAL) et leur professeur encadrant, Valentine IMOHF.

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Annick GIRARDIN étant absente de l’Archipel à cette période, c’est sa suppléante qui la représentait ce mercredi 6 avril.
Ce fut pour Catherine PEN, comme à chaque fois pour Annick GIRARDIN, un réel plaisir de discuter avec les lycéens afin de comprendre ce qui les a motivé dans leur choix, mais aussi de découvrir un nouvel auteur et de rencontrer un « personnage » pour le moins atypique et haut en couleurs comme Mikhaïl W. RAMSEIER.

Dossier Seafood : mise au point du Député

Le commentaire – pour le moins virulent à mon égard – de « MLM » posté sur l’article précédent concernant mes déclarations sur l’affaire Seafood, me permet finalement de faire une « petite » mise au point.

S’engager en politique, c’est exprimer ouvertement ses opinions et fatalement s’exposer à la critique. C’est la règle du jeu et je l’accepte volontiers. Sur ce blog, comme sur celui de Cap sur l’avenir, nous n’avons jamais hésité à publier nos prises de position et les commentaires, même très critiques à notre encontre, que des internautes ont voulu poster. La liberté d’expression est pour nous la base incontournable d’une société qui respecte ses citoyens.

Une autre valeur qui me tient – qui nous tient – à coeur, c’est le langage de la vérité : le parler vrai ! Aussi, quand je lis le message de « MLM », je trouve le raccourci un peu rapide. Je n’attends pas que les choses se fassent pour ensuite « critiquer » et « démolir ». J’ai pour habitude lorsque l’on me soumet un projet, non seulement d’en prendre connaissance, mais aussi de l’étudier et de faire quelques vérifications, avant d’apporter un jugement ou d’émettre une opinion.

Concernant la reprise d’Interpêche par « Seafood », par deux fois j’ai rencontré M. HANSEN avant le dépôt de son dossier, mais il n’a pas su me convaincre de la solidité de son projet. C’est vrai, j’ai donc dès le départ émis des doutes sur la viabilité d’une telle entreprise. Mais le Président du Conseil Territorial, le Préfet de l’époque et les salariés de l’époque voulaient tellement croire en cette solution miracle que je n’ai pas été entendue, pas plus d’ailleurs que mon collègue conseiller territorial Yannick CAMBRAY. Si on peut comprendre cette « foi du désespoir » qui animait des salariés en phase d’être licenciés, on pouvait s’attendre par contre à plus de recul et de discernement de la part de responsables politiques et de hauts fonctionnaires.
Avais-je tort ? Non ! 22 mois plus tard, après 6 millions d’euros d’argent public mobilisé (voir tableau récapitulatif : Dossier Seafood : mise au point du Député dans Pêche et aquaculture pdf subvpubseafood.pdf), nous devons faire face à une société en dépôt de bilan, avec un déficit de 1 million d’euros !

Je ne prendrais qu’un deuxième exemple, celui du « Cabestan ». Avant même l’achat du navire « Locmaria », j’avais exprimé clairement, suite à certaines recherches que nous avions effectuées, nos profondes inquiétudes sur l’état de ce bateau. Je ne reviendrai pas sur les tristes péripéties du navire que tout le monde connait. Avais-je tort ? Encore une fois, non ! D’ailleurs je viens d’apprendre que le « Cabestan » part de nouveau en cale sèche cette fin de semaine… no comment…

Faudrait-il que j’assume ces deux fiascos financiers et humains ? Non plus ! Ils auraient pu être évités si l’on m’avait écouté. Par contre, quand tout le monde est dans la mouise (et je reste correcte), là on sait venir trouver le Député pour un appui ou qu’il trouve des solutions.

Pour revenir au dossier Seafood qui nous préoccupe, je ne me défilerai pas, comme je l’ai dit à la quarantaine d’employés qui s’étaient déplacés à ma permanence la semaine dernière, et comme je l’ai répété hier aux représentants du Collectif de salariés qui venait de se créer, et avec qui je me suis entretenue, je serai à leurs côtés pour les épauler et les aider dans cette phase de transition difficile, afin de trouver des solutions pour repartir sur des bases nouvelles et saines. Mais pour cela, il faut savoir tourner la page, or, il ne faut pas se voiler la face, il y aura fatalement de mauvais moments à passer.

Il est important de tourner cette page Seafood pour pouvoir envisager l’avenir plus sereinement, mais il faut avant tout que les choses soient dites, pour remettre les compteurs à zéro, crever l’abcès et que toutes les erreurs du passé soient actées pour travailler sur l’avenir. Le Président ARTANO ne veut regarder que l’avenir et pour cause… Il doit cependant assumer ses choix, cesser de distiller des contre-vérités pour masquer ses mauvaises décisions et entretenir ce jeu de poker-menteur dont les pions sont les salariés de Seafood.

Stéphane ARTANO, comme l’auteur du commentaire « MLM » tendraient à me rendre responsable des déboires de la société Seafood… c’est me prêter beaucoup, de pouvoir ! Même si je n’ai pas voté le rachat par le Conseil territorial des parts de la SEM pêche détenues par Seafood, l’opération s’est faite et l’entreprise a touché son argent tout comme les autres subventions et autres aides publiques. Ce n’est pas moi qui ai dilapidé en 22 mois près de 6 millions d’euros, je n’ai juste pas cru à ce projet dès le début et je l’ai dit haut et fort.
Pour le reste, je n’ai fait que rétablir la vérité lorsque le Président du Conseil territorial ou la direction de Seafood ont présenté de mauvais arguments pour se désengager de leurs responsabilités dans ce naufrage :

  • En ce qui concerne l’engagement de Seafood à investir 4 millions de dollars dans les 3 premières années de fonctionnement, voici la page 15 du dossier de reprise déposé par Seafood le 18 avril 2009 qui stipule noir sur blanc cet engagement, or personne n’a vu la couleur d’un cent :
    pdf dans Pêche et aquaculture repriseseafoodp15.pdf
  • En ce qui concerne la répartition prévue des quotas 2/3 – 1/3 entre le Pôle St-Pierre et le Pôle Miquelon, voici la page 25 de ce même dossier de reprise où cet accord est spécifié. A l’inverse de tout ce qui a été affirmé par le Président ARTANO et certains représentants de Seafood, cette répartition était bel et bien actée avant la reprise d’Interpêche et n’est certainement pas un éléments nouveau survenu après la reprise et qui aurait déséquilibré le plan Seafood : pdf repriseseafoodp25.pdf

Mais il y a aussi les questions qui fâchent :

  • Pourquoi Seafood a laissé en 2 ans près de 1000 tonnes de quotas à l’eau, alors qu’il était pourtant spécifié dans le dossier de reprise, page 25 (voir document plus haut) : « La rentabilité de l’entreprise ne peut accepter de ne pas avoir l’ensemble des quotas pêchés et traités. » ?
  • Que sont devenus les près de 6 millions d’euros d’argent public ? Les réponses restent d’un flou très artistique. Selon le Président ARTANO, la banque affirme qu’ils sont restés localement… mais où ? En tout cas pas dans deux nouvelles machines Baader, ça se saurait !

Par ailleurs, le Président ARTANO a la mémoire bien sélective quand il déclare la semaine passée en radio que je n’ai jamais rien obtenu en son temps pour soutenir Interpêche et aider la filière pêche qui traversait une crise majeure fin 2007.

Pourtant, je me suis battue, notamment auprès de Christian ESTROSI (alors Secrétaire d’Etat à l’Outre-mer) pour que l’Etat respecte sa parole et verse à Interpêche les 90 000 euros prévus pour le départ en préretraite de 5 ou 6 salariés, et nous les avons obtenus !

J’aimerais aussi lui rappeler, qu’à l’automne 2007, alors que la situation était critique, c’est moi qui ai obtenu de Michèle ALLIOT-MARIE, l’organisation le 14 décembre 2007 de la première table ronde à Paris sur la filière pêche en général et le dossier Interpêche comme le confirme ci-après le courrier du Ministre de l’Intérieur et de l’Outre-mer.

Voici un extrait du compte-rendu de cette table-ronde que j’avais publié sur ce même blog : « Le président du Conseil territorial ayant quitté la réunion vers 16h30 pour d’autres rendez-vous, il m’est revenu la charge de conclure cette table ronde. Après avoir indiqué que les salariés d’Interpêche attendaient des réponses de cette réunion et que, sur ce point, la table ronde était décevante – j’ai déclaré à nouveau qu’il était impossible d’accepter la mort de l’entreprise Interpêche et le licenciement de ses salariés dans les prochains mois. D’autant qu’il serait complètement irréaliste de penser construire sereinement un plan d’avenir dans la concertation, sur fond de crise sociale.
J’ai ajouté que nous devions obtenir un délai supplémentaire, allant au-delà de la date de fin de convention (février 2008) et par conséquent une subvention permettant à Interpêche de fonctionner toute l’année 2008. Ceci nous donnerait le temps d’entreprendre la concertation locale nécessaire et de faire des propositions de restructuration
. »

De cette première table-ronde ont découlé plusieurs actions et événements, dont, un peu plus tard en janvier, mon courrier d’alerte à Christian ESTROSI, l’occupation de la Préfecture par les salariés d’Interpêche, la venue éclair de Christian ESTROSI à SPM, dans la foulée, mon départ sur Paris dans le Falcon du Secrétaire d’Etat à l’Outre-mer pour lui poser une question le lendemain à l’Assemblée Nationale afin d’obtenir une réponse officielle du Gouvernement sur la filière pêche, puis une seconde table ronde, toujours en janvier qui s’est soldée par :

« La proposition de l’Etat, en dehors des 90.000 euros pour les départs en préretraite, s’est concrétisée par une aide 2008 de 690.000 euros qui se décompose ainsi :

  • 460.000 euros au titre de l’aide à la diversification du SEOM ;

  • 90.000 euros au titre du ministère de l’Emploi ;

  • 140.000 euros complémentaires du SEOM sur les 150.000 demandés (que j’avais pour mission – comme convenu avec les élus et Interpêche – de négocier auprès de C.ESTROSI dans le Falcon qui nous ramenait à Paris).

L’ensemble de cette proposition sera traduit dans une convention qui devrait être proposée à la société par le Préfet dans les jours à venir. »

Alors dire que je n’ai jamais rien obtenu pour la pêche Monsieur ARTANO, ou encore que je ne fais que critiquer et démolir « MLM », je vous trouve quelque peu de mauvaise foi. Oui, j’ai la faiblesse de penser que si les employés d’Interpêche ne se sont pas trouvés au chômage en 2008, c’est « un peu » grâce à mon travail. J’ai également la faiblesse de penser que si, comme je le préconisais, nous avions à cette époque mis à profit cette année de financement pour continuer le travail de mise à plat de toute la filière pêche initié par les tables rondes pour trouver une solution locale plutôt que de poursuivre la chimère Seafood soutenue par le Conseil territorial ; et bien nous n’en serions peut-être pas là aujourd’hui !

Je reste cependant prête pour travailler à une restructuration de la filière pêche avec l’ensemble des partenaires, collectif des salariés de l’ex-Interpêche, mais aussi avec les armateurs, pêcheurs et  autres acteurs de ce secteur à Saint-Pierre comme à Miquelon. La politique maritime que nous devons construire ensemble doit se penser et se décliner sur les deux communes, selon les structures et les atouts de chaque pôle. Ce secteur restera, si l’on veut bien s’en donner la peine, une possibilité certaine de développement économique pour notre archipel.

Annick GIRARDIN

Seafood : retour sur les déclarations du Député

Mercredi 6 avril, une quarantaine de salariés de la société « Seafood » (en l’absence de l’équipe de direction) s’est rendue à la permanence du Député. Annick GIRARDIN étant à Paris, elle a pu s’entretenir avec eux par téléphone durant plus d’une heure afin d’écouter leurs revendications et d’expliquer ses prises de position et celles de son mouvement « Cap sur l’avenir ».
Cet échange lui aura été utile pour sa rencontre prévue le lendemain avec Isabelle RICHARD, conseillère au Ministère de l’Outre-mer, chargée du dossier Saint-Pierre-et-Miquelon.
Le Député avait d’ailleurs donné un rendez-vous téléphonique à des représentants des salariés plus tard dans la journée du jeudi 7 avril, afin de leur faire un compte-rendu de cet entretien.

  • L’interview d’Annick GIRARDIN diffusée au journal télévisé de 20h00 sur SPM 1ère le 7 avril à la suite de son entretien au Ministère de l’Outre-mer :

http://www.dailymotion.com/video/xi2cil

Dans l’immédiat, la préoccupation principale du Député reste les salariés de Seafood et notamment le règlement de leur salaire de Mars qui leur est dû. Pour Annick GIRARDIN, les salariés se sont fait abuser depuis 2 ans par de belles promesses sur un projet qui ne « tenait pas la route ».
Pourtant, selon elle, l’avenir économique de Saint-Pierre-et-Miquelon repose obligatoirement sur la filière pêche et aquacole et sur une répartition du travail sur les 2 pôles. L’avenir est loin d’être noir, les employés de Seafood en feront partie, mais il y aura fatalement de mauvais moments à passer.

  • L’intervention du Député le vendredi 8 avril dans les matinales de SPM 1ère :

Après 2 ans d’exploitation, plus de 5 millions d’euros de subventions des pouvoirs publics et des engagements non tenus des canadiens à hauteur de 4 millions de dollars, on se retrouvait la semaine dernière avec une entreprise endettée à hauteur d’1 million d’euros et qui réclamait un accompagnement de l’Etat d’un minimum de 3 millions d’euros pour développer un nouveau projet industriel. Difficile d’être crédible dans ces conditions.
Pour le Député il faut savoir dire stop. Annick GIRARDIN s’est exprimée sans détour sur les ondes de SPM 1ère, expliquant que les salariés de Seafood sont les pions d’un jeu de poker-menteur qui doit cesser.  Il faut arrêter de les faire rêver. On peut comprendre qu’en 2009 ils aient voulu y croire, mais le projet Seafood était du départ un non-sens économique. Nous n’avons d’autre choix aujourd’hui que de tout remettre à plat et les salariés de Seafood doivent être associés à cette réflexion.

  • L’intervention en direct du Député au journal parlé du midi de SPM 1ère le 8 avril :

Revalorisation des retraites : un premier pas, mais le travail n’est pas terminé

Elle est presque passée inaperçue la semaine dernière, compte tenu de l’actualité, mais la revalorisation exceptionnelle de 4.5% des pensions de la CPS est effective.
Si elle est le résultat d’un effort collectif, cette revalorisation – qui aura nécessité une défense acharnée dans le contexte on ne peut plus défavorable de la réforme des retraites au niveau national – provient en effet à l’origine d’une demande de la CFDT fin 2007, qui a été notamment relayée localement par plusieurs manifestations publiques au cours de la dernière année. Suite à l’avis officiel de la CPS prévu par la loi, ce combat a en outre été porté à Paris de façon continue et unie par les parlementaires de l’Archipel depuis l’origine, avec notamment :

  • des interventions répétées et sans relâche à l’Assemblée Nationale
  • l’adoption d’un amendement concernant les retraites à SPM lors de l’examen de la LODEOM
  • des courriers et notes d’argumentaire adressés aux Ministres compétents
  • de nombreuses réunions de travail avec les ministères, à Paris comme dans l’Archipel, notamment lors des visites de Christian ESTROSI puis d’Yves JEGO
  • une visioconférence avec les responsables parisiens du dossier organisée à la demande du Député le mois dernier.

Aujourd’hui, il en résulte donc 4.5% de rattrapage pour les pensions de la CPS. Comme le soulignent les services de l’Etat, si l’on y ajoute les 2.1% de revalorisation supplémentaire qui viennent d’être appliqués au niveau national, y compris dans l’Archipel, nous arrivons à une revalorisation de 6,6% des retraites du régime général, versées dans l’Archipel par la CPS.
Si nous ne sommes toujours pas au niveau de 10% jugé légitime et nécessaire par le Député, c’est que l’année 2005 (année de forte inflation) n’a pas été prise en compte dans le calcul du différentiel. Ceci est malheureusement le résultat des discussions de 2006 avec l’Etat, les élus de l’époque ayant manifestement manqué de vigilance sur ce dossier.

Ne boudons pas cependant cette annonce, il s’agit ici d’un soutien bienvenu pour des retraités qui souffrent tout particulièrement de l’augmentation du coût de la vie, à Saint-Pierre comme à Miquelon.
Pour autant, ce n’est là que la première étape du travail qui aboutit : les retraités de l’ENIM demeurent encore en attente, contrairement aux engagements ministériels obtenus à plusieurs reprises, alors même que ce sont ceux qui souffrent de la perte de pouvoir d’achat la plus scandaleuse.
Alors que le principe de la revalorisation des pensions de l’ENIM a été inscrit dans la loi à la demande du Député, le texte d’application nécessaire n’a toujours pas été adopté par le Gouvernement. Il en est de même en ce qui concerne la mise en place d’un système annuel et automatique de revalorisation spécifique des pensions dans l’Archipel, demande de longue date dont le Député a également obtenu l’inscription dans la loi.
Enfin, le Député interviendra dans les prochains jours auprès du Gouvernement pour dénoncer le fait que l’engagement d’une rétroactivité au 1er avril 2010 n’ait pas été respecté, la revalorisation n’étant applicable qu’à partir du 1er avril 2011.
Le compte n’y est donc pas, le travail continue et restera sans relâche jusqu’à ce que les instances parisiennes appliquent sur le terrain toutes les avancées obtenues dans la loi au bénéfice des retraités, de la CPS comme de l’ENIM.

  • Retour sur un travail de longue haleine :

Semaine du 8 au 15 octobre 2007
http://spedr.com/N04Xydks

Question orale sans débat sur le pouvoir d’achat
http://spedr.com/L2at7orZ

Pouvoir d’achat retraités
http://spedr.com/BRWfuNPa

Le travail du Député ne s’arrête pas pour les municipales !
http://spedr.com/I5Up3gR3

Semaine du 28 janvier au 3 février 2008
http://spedr.com/K8Fwdvpo

Revalorisation des retraites : le travail de fond du député continue
http://spedr.com/Qv1rgHes

LODEOM : vote d’abstention du Député
http://spedr.com/G4Ur3FFO

Question orale sur le régime de retraite de l’ENIM, Annick GIRARDIN poursuit son combat
http://spedr.com/Q0gvCOcK

Le Député saisit la Secrétaire d’Etat à l’Outre-mer
http://spedr.com/34A6WipM

Le Député reçoit une délégation de retraités
http://spedr.com/LBOf0rkO
Revalorisation des retraites : le Député renouvelle ses démarches auprès du SEOM
http://spedr.com/9ebwWPXV

Retraites : le Député poursuit son travail auprès des ministères
http://spedr.com/A8XZLAEl
Retraites de la CPS et de l’ENIM : des engagements du Ministre et un travail qui se poursuit
http://spedr.com/FtvvaOLv

Retraites de la CPS et de l’ENIM : le combat du Député continue
http://spedr.com/w7WD30T

Retraites de la CPS et de l’ENIM – enfin, un mécanisme annuel et automatique !
http://spedr.com/CR957h4g

Revalorisation des retraites : le Député demande un arbitrage en réunion interministérielle au Premier Ministre
http://spedr.com/NSF1DaS4

Le Député saisit la Ministre de l’Outre-mer concernant les ordonnances “retraites” et “logement” pour Saint-Pierre-et-Miquelon
http://spedr.com/8dENjHth

LODEOM : Annick GIRARDIN interpelle Marie-Luce PENCHARD
http://spedr.com/B9v88Hyw

Retraites : le Député est prêt à aller chercher l’arbitrage de Matignon
http://spedr.com/eVyQxT5

Un après-midi au « Club de l’amitié »

img2432.jpgIl y a tout juste une semaine, et comme l’an dernier, le Député s’est rendu le samedi 26 mars pour un après-midi festif au « Club de l’amitié », accompagné de quelques membres de « Cap sur l’avenir ».

Plus de 80 membres de l’association des retraités de Saint-Pierre se sont réunis pour partager avec Annick GIRARDIN et son équipe un « coup de thé », suivi de plusieurs tours de Bingo.

L’après-midi s’est terminé comme il avait commencé, c’est à dire en musique et en chanson. En effet, à l’arrivée d’Annick GIRARDIN, les hommes lui avaient fait la surprise de l’accueillir et lui souhaiter la bienvenue par une chanson qu’ils avaient spécialement écrite pour sa venue.

Club de lamitié
Album : Club de l'amitié
Le samedi 26 mars, le Député s'est rendu pour un après-midi festif au Club de l'amitié.
31 images
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Ce fut un après-midi très agréable, au cours duquel le Député et les membres de son mouvement ont pu discuter et échanger avec nos aînés dans une ambiance festive et très conviviale.




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