Le Député écrit au PDG de l’IFREMER

Après avoir obtenu du Ministre Jean-Louis BORLOO l’inscription de Saint-Pierre-et-Miquelon au programme EXTRAPLAC pour 2011 et son financement, Annick GIRARDIN avait saisi en Commission Valérie PECRESSE, la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, afin de l’alerter sur l’aspect prioritaire de cette mission, compte tenu du climat dans la région, et de la nécessité de la doubler d’une mission de recensement de la richesse animale et végétale présente dans nos eaux froides.

Dans un courrier adressé ce jour au Président Directeur Général d’IFREMER, organisme en charge du programme EXTRAPLAC, le Député demande une confirmation des dates retenues pour la campagne d’acquisition de données et insiste auprès de Jean-Yves PERROT pour y adjoindre une campagne de recensement de la biodiversité marine autour de Saint-Pierre-et-Miquelon.

S’il est important de revendiquer nos droits sur le plateau continental, il est tout autant important de bien connaître notre environnement et peut-être y découvrirons-nous de nouvelles espèces qui, demain, deviendront des opportunités économiques pour l’Archipel.

L’interview du Député sur RFO radio SPM :

Le courrier au PDG d’IFREMER : Le Député écrit au PDG de l'IFREMER dans Environnement pdf ifremer291010.pdf

2 Réponses à “Le Député écrit au PDG de l’IFREMER”


  • il faut se dépecher d’agir et de profiter avant le prochain remaniement ministériel, car aprés il faudra peut étre tout reprendre à ZERO…
    à mon avis, ce chiffre là, on en reparlera!

  • miquelonnais d'occasion

    Pour les nouvelles espèces tant mieux encore faudrait-il défendre nos espèces actuelles et sortir de l’enfermement dans lequel le canada nous a mis en matière de pêche et de produits de la mer.
    que dire d’un accord franco canadien sur le 3 ps où 70% du quota est péchable par un navire canadien….il devrait y avoir moyen pour les canadiens de lacher du lest surtout que ce n’est certainement spm avec ses maigres moyens qui va bouleverser la ressource dans la zone..un peu d’air pour exister serait un minimum.
    il y a certainement possibilitè de coexister intelligemment en apportant notre connaissance des marchés européens à nos voisins qui en sont loins et de plus souvent incultes tant dans les produits que dans nos habitudes de consommation.
    le jour où les canadiens comprendront que spm peut servir en gardant son identitè et non en disparaissant on aura fait un grand pas…utile pour tout le monde.Ils devraient être les premiers à investir à côtè des St Pierrais et non chercher les subsides de l’Etat ici.

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